dimanche 21 novembre 2010

Louvain-la-Neuve LLN 90 ans de Jean-Emile Humblet

Jean-Emile Humblet a fêté ses 90 ans au Placet.
Quelques photos. Vidéos en téléchargement.

mardi 26 octobre 2010

Photos "Pariétale" : une table tactile géante pour découvrir les empreintes préhistoriques

Découvrez "Pariétale", la table tactique innovante.
La table géante permet aux visiteurs du musée Nestploria, dans les Hautes-Pyrénées, de confronter leurs empreintes avec celles des hommes préhistoriques. Ces traces, à retrouver virtuellement dans leur contexte et en taille réelle, datent de la période paléolithique.

Photos "Pariétale" : une table tactile géante pour découvrir les empreintes préhistoriques

vendredi 15 octobre 2010

Lalibre.be - L’expo qui fait rêver d’Amérique

L’Amérique continue d’exercer une fascination chez les Européens et si l’on veut savoir quelles sont les racines de ce lien presque viscéral, il faut se rendre à partir de ce vendredi 15 octobre au site de Tour & Taxis, à Bruxelles, où s’ouvre l’exposition "L’Amérique, c’est (aussi) notre histoire".

Sur le modèle bien rodé des expositions " C’est notre histoire ", celle-ci se penche sur les échanges entre les deux continents américain et européen, des premiers colons du "Mayflower" jusqu’aux touristes de l’été dernier, ravis de profiter de la faiblesse du dollar.

Voir suite article :

Lalibre.be - L’expo qui fait rêver d’Amérique

vendredi 8 octobre 2010

Ottignies-Louvain-la-Neuve: Ottignies-Louvain-la-Neuve: des vélos électriques à louer? - L'Avenir

OTTIGNIES-LOUVAIN-LA-NEUVE - Le collège réfléchit à l'installation de stations de location de vélos à assistance électrique. Jacques Otlet suggérait une prime à l'achat.

Lors du con seil communal du mois de mai, Jacques Otlet (MRIC, opposition) a suggéré la création d'une prime communale à l'achat d'un vélo à assistance électrique. Le conseil consultatif mobilité s'est penché sur la question et «aucune décision n'est prise. Des discussions, il ressort qu'il serait plus efficace d'organiser une location à court, moyen et long terme», explique le bourgmestre Jean-Luc Roland (Écolo).

Un point vélo sera installé à la gare d'Ottignies au début 2011. La contribution de la Ville pour ce point vélo serait l'achat de vélos électriques : «Nous aurions des vélos à mettre en location à la fois au point vélo de la gare d'Ottignies et à l'office du tourisme de Louvain-la-Neuve», poursuit Jean-Luc Roland.


Ottignies-Louvain-la-Neuve: Ottignies-Louvain-la-Neuve: des vélos électriques à louer? - L'Avenir

mardi 5 octobre 2010

Actualité complète

Le 5 octobre, le garde forestier du bois de Lauzelle Jean-Claude Mangeot, l’architecte paysagiste de l’UCL Vincent Poelaert et le député provincial en charge de l’Environnement Alain Trussart ont refermé les vannes du lac de Louvain-la-Neuve (notre photo). Il faudra sans doute quelques semaines à celui-ci pour se remplir… suivant la générosité du ciel.

La mise en assec du lac de Louvain-la-Neuve a permis non seulement d’en reminéraliser la vase, mais aussi de restaurer les berges et de créer deux nouvelles zones de lagunage, pour épurer les eaux pluviales en provenance des quartiers. Plusieurs îles flottantes ont été créées, qui auront un rôle esthétique et de protection pour les poissons - lesquels frayeront dans les racines - et les oiseaux (nidification).
Voir la suite :

Actualité complète

mardi 21 septembre 2010

dimanche 5 septembre 2010

Rem Koolhaas : "Il faut cesser d'embaumer les villes" - LeMonde.fr

Le Hollandais Rem Koolhaas (on prononce "rèm kolace"), sans doute l'architecte le plus célèbre au monde actuellement, a obtenu le Lion d'or de la Biennale de Venise (Le Monde du 27 juillet et du 31 août). Il y présente avec lucidité et causticité une exposition intitulée "Cronocaos" sur la question du patrimoine, un terme qu'il n'utilise ni n'écrit, pour lui préférer celui, plus actif, de préservation.


Rem Koolhaas : "Il faut cesser d'embaumer les villes" - LeMonde.fr

jeudi 2 septembre 2010

Louvain-la-Neuve Kidzik

De nouvelles photos sur l'animation musicale dans les rues de Louvain-la-Neuve et sur la Place de l'Université.
http://picasaweb.google.be/paulthielen/100828KidzikInstrumentsMusiqueVille#

samedi 10 juillet 2010

Barbosa

Jorge Barbosa était un seigneur. Élégant, racé, … comment dit-on « hidalgo » en portugais ? Jeune exilé des îles du Cap-Vert, fuyant avec quelques amis la dictature coloniale portugaise, nous l’avions accueilli à Leuven en 1964. Nous l’avons déposé ce samedi 10 juillet 2010 dans le cimetière de Blocry qui sert de couche commune aux habitants de Louvain-la-Neuve et aux voisins de l’ancien sud d’Ottignies. Il y sera en terrain connu auprès de tous les novolouvanistes qui se sont éloignés de quelques mètres de la ville qu’on disait « sans cimetière ».
Louvain des années 60. Un bouillonnant milieu de vie. Le développement des maisons communautaires, des habitats groupés d’étudiants avec un projet socioculturel, les ancêtres des kots-à-projet. Et parmi ces maisons, sur la place Hoover, entre la Bibliothèque et le parc Saint-Donat, la maison qui abritait le CIEE (Cercle des Étudiants Étrangers). On prononçait souvent sé i yéyé (comme dans « années 60, années yéyé »).
L’Université Catholique de Louvain était riche de ses étrangers. Et les années 60 abritaient des bénéficiaires d’indépendance récente et d’autres qui militaient encore pour une liberté incertaine. Envers l’Algérie on quittait l’époque des porteurs de valises et on entrait dans la coopération.
La maison que j’habitais, le CRU, Centre Religieux Universitaire, était face au CIEE et en 1964, j’allais regarder la télévision au Cercle. Facile à dater parce que je regardais les émissions du 50e anniversaire de la Grande Guerre. Les contacts étaient étroits entre les maisons d’animation sises sur la Hooverplein : CRU, CIEE et plus tard le CITM (Centre d’Information Tiers-Monde), maison bien plus politique que les kots-à-projet humanitaires d’aujourd’hui ?
Un peu plus tard, avec l’implantation de l’Alma II à la rue van Even, le CIEE a déménagé sur un emplacement stratégique, entre le grand resto universitaire et l’ancien cercle (home ?) colonial. Pour beaucoup c’est devenu un rituel. Repas du midi dans la grande salle de l’Alma II, ensuite petit café au CIEE. On y refaisait le monde, littéralement. On y disait ses espérances de changement de régime, de paix, de démocratie. Les Basques opprimés par Franco, les colonisés du Portugal, les militants du Vietnam, les Latino-américains des dictatures, les Nicaraguayens,les Haïtiens, (aussi des militants catholiques cubains qu’on disait avoir été échangés contre des camions) … se formaient pour devenir les dirigeants et les ingénieurs de demain.
Car le Cercle était aussi un haut-lieu de formation culturelle. Ceux qui ont plongé dans ce milieu et partagé régulièrement les activités se sont créé une conscience universelle. Avec ses naïvetés, avec ses fausses espérances, avec ses trahisons. Les dictatures payaient des étudiants (ou faisaient pression sur les familles restées au pays) pour espionner leurs camarades. On baissait la voix quand s’installait sur la terrasse, pour le café, quelqu’un qu’on soupçonnait être un inconditionnel de Mobutu. Et la réputation de la PIDE (Polícia Internacionale de Defesa do Estado) faisait frissonner. On racontait l’histoire de l’étudiant rentré en vacances au Portugal de Salazar et emprisonné sur base de propos tenus quelques mois plus tôt en prenant un café à Louvain.
Le CIEE, ouverture au monde, foyer de culture, centre politique… Le prestige du CIEE était grand. Il était servi par de remarquables présidents. Il faudrait en retrouver la liste (Jean-Louis Luxen en a évoqué quelques-uns au cours de la messe). Mes préférés ont été Naïm Khader, qui a fait entrer la Palestine au rang des nations, et Jorge Barbosa qui a fait de petites îles de l’Atlantique un emblème de la libération du colonialisme portugais.
Le sommet du travail du CIEE fut l’action de l’hiver 1970 en faveur de l’accueil des étudiants étrangers. À l’occasion du 40e anniversaire de cette grève de la faim sur le thème « Nous sommes tous des étrangers », je cherche à rassembler témoignages, photos et documents. Tous ceux qui étaient actifs dans l’accueil des étudiants étrangers en Belgique s’étaient sentis paralysés par la législation du gouvernement belge, et particulièrement du ministre Vranckx. Le CIEE et de nombreux autres groupes ont occupé les Halles Universitaires. Les autorités universitaires flamandes ont imposé à Mgr Massaux de faire évacuer le bâtiment par la police. Massaux m'avait averti peu avant. L’action s’est transplantée alors dans la grande salle du CIEE et la chapelle du CRU. Toute l’université (droit, théologie, sciences, médecine, …) s’est arrêtée longuement pour réfléchir, chacun dans sa spécialité à un meilleur accueil des étudiants étrangers. Le CRU a tourné à cette occasion un million de feuilles stencylées.
Rocha, le fidèle comparse de Georges, m’en parlait d’abondance au sortir de la messe de funérailles à Grez-Doiceau. Il a promis photos et documents. Dans mon expérience de plus de 50 ans je pense que l’UCL n’a jamais été autant l’Université que pendant ces semaines magiques de l’hiver 1970.
Hélas! le CIEE n’a pas réussi à trouver le même prestige, la même efficacité à Louvain-la-Neuve. Il est parmi les groupes qui ont perdu beaucoup dans le camion de déménagement.
Paradoxalement Jorge Barbosa a trouvé au sein de l’administration de l’UCL une fécondité nouvelle. C’est une autre histoire que ses collègues connaissent mieux que moi.
Je voulais rendre hommage au jeune exilé de 20 ans qui vivait dans l’espoir de la démocratie au Portugal et de l’indépendance de ses îles natales. Lorsqu’en 1974 nos transistors ont propagé l’air de la révolution des œillets (Grândola vila morena), et qu’un peu plus tard le Cap Vert est devenu république nous savions que le grand rêve de Barbosa et Rocha s’était réalisé.
Le bonheur ? En commentant dans son homélie l’évangile des Béatitudes, Pierre Sauvage rappelait que c’est un bonheur en marche. « Bienheureux », mais le bonheur est dans le chemin. Dans le monde entier, et pour un ancien président du CIEE et qui a porté ensuite les relations internationales de l’UCL, ce n’est pas une métaphore, dans le monde entier des amis de Georges se souviennent avec émotion d’un chemin partagé.
Nous avons quitté Georges à deux pas d’ici, au son d’un petit orchestre amical qui nous a accompagnés pendant des heures. Comment s’appelle donc cette musique dissonante, déchirée, grinçante ? Qui parle de bonheur a souvent les yeux tristes.
Pourtant ce fut un grand bonheur. Salut, prince de l’Atlantique ! Nous garderons de toi une éternelle saveur océane.

mercredi 7 juillet 2010

UCL - Congo: projets de recherche en ligne

UCL - Congo: projets de recherche en ligne
L’UCL et le Musée royal d’Afrique centrale ont conçu un site web qui permet à tous les scientifiques de situer et de décrire sur une carte du Congo l’objet de leur recherche.

Jorge Eduardo Pereira Barbosa

Né au Cap-Vert, décédé à Wavre.

De nombreux "amis de par le monde"
Funérailles à Grez-Doiceau le samedi 10 juillet 2010 à 11 heures.
Inhumation au cimetière de Blocry.

Ninguém
Repara a mágoa sentida
Que ihe pesa no silêncio,
Nem a lágrima vertida...

Jorge Barbosa

dimanche 4 juillet 2010

La Belgique danse. Louvain-la-Neuve

Ambiance des grands jours samedi soir 3 juillet 2010 sur la grand-place de Louvain-la-Neuve./
Vous y étiez ? Retrouvez vos danses endiablées sur www.youtube.com/paulthielen
Des photos aussi sur www.picasaweb.com/paulthielen ou sur www.flickr.paulthielen

samedi 3 juillet 2010

Paléontologie : une nouvelle histoire de la vie - LeMonde.fr

Paléontologie : une nouvelle histoire de la vie - LeMonde.fr
Il faudrait tout récrire : les manuels de biologie, mais aussi toute l'histoire de la vie. La découverte, publiée jeudi 1er juillet à la "une" de la revue Nature, de plusieurs dizaines de fossiles d'organismes multicellulaires datés de 2,1 milliards d'années, promet de secouer comme jamais le landerneau des paléobiologistes. Car, à lire les travaux dirigés par le sédimentologue Abderrazak El-Albani, chercheur au laboratoire Hydrasa (CNRS et université de Poitiers), les premières formes de vie complexes sont apparues 1,5 milliard d'années plus tôt que les estimations actuelles.

Cent mille visiteurs pour la première année du Musée Hergé de Louvain-la-Neuve - Belga Generique - Le Vif - Le Vif

Cent mille visiteurs pour la première année du Musée Hergé de Louvain-la-Neuve - Belga Generique - Le Vif - Le Vif



(Belga) Le musée Hergé de Louvain-la-Neuve (Brabant wallon), installé en bordure du Parc de la Source inauguré vendredi par l'Université catholique de Louvain (UCL), est ouvert depuis un an. Le directeur du Musée, Laurent de Froberville, qualifie cette première année de "période de rodage" qui s'est bien passée: 100.000 visiteurs ont été accueillis. L'objectif est de doubler ce nombre dans les cinq ans.

Le carnet du jour, signe d'appartenance sociale - Culture - la-Croix.com

Le carnet du jour, signe d'appartenance sociale - Culture - la-Croix.com

Il marque les grands événements de la vie, la naissance, le mariage, la mort… Codifié ou très personnel, le carnet des journaux résiste aux assauts des nouvelles technologies...

...
à suivre sur le site de La Croix.
Depuis longtemps je rêve d'un agenda rapide sur LLN et ceux qui y sont passés.
Un blog, une page Facebook ?
Pour le moment je me sers de ce blog mais j'apprends presque toujours trop tard le décès de mes amis.
J'ai appris beaucoup de décès d'amis via Facebook.

vendredi 2 juillet 2010

2 juillet à Louvain-La-Neuve : conférence de Rajabopal

2 juillet à Louvain-La-Neuve : conférence de Rajabopal
2 juillet à Louvain-La-Neuve : conférence de Rajabopal

Rajagopal, leader du mouvement Ekta Parishad, passe par la Belgique à l’occasion de ce qui risque d’être sa dernière visite en Europe avant la grande marche de Jansathyagraha 2012.

Cette large mobilisation des paysans sans terre en Inde réunit également d’autre travailleurs précaires luttant pour leurs droits.

Lieu de la conférence : Agora, Louvain-la-Neuve (Agora) Date : le vendredi 02 juillet 2010 à 20h.

Nous pourrons y manifester notre solidarité avec un réseau international d’acteurs mobilisés pour un monde rural "durable".

Conférence organisée par Jacques Vellut avec la collaboration de la Commune d’Ottignies-LLN et de la Maison du Développement durable.

mercredi 30 juin 2010

Jacques Delcourt, un ami s'en est allé

Les funérailles ce mercredi 30 juin à 11 heures, à l'église Notre-Dame d'Espérance. Louvain-la-Neuve Sud. Quartier Bruyères (les Hauts-de-Bruyère).
Beaucoup ont connu Jacques Delcourt comme professeur de sociologie.

Funérailles

mardi 11 mai 2010

Lalibre.be - Une nouvelle équipe pour l’AGL

Lalibre.be - Une nouvelle équipe pour l’AGL
Les priorités de l’AGL concernent le social, l’enseignement, l’institutionnel et le développement durable.

lundi 26 avril 2010

Terrasse des Sciences

"Place des Sciences

Le rideau se lève sur la Place des Sciences: bienvenue au MoZaïK! Venez passer une agréable aprem sur notre Terrasse des Sciences pour lire une bd, voir une expo photo, jouer un jeu de société ou tout simplement bronzer au soleil un bon cocktail à la main. Le tout dans une ambiance conviviale et décontractée!"
En ce début de semaine, les grands fauteuils sont prêts à nous accueillir.
Cela donne une tout autre allure à cette magnifique place, trop peu connue des novolouvanistes non scientifiques
Voir mes photos sur mon site picasaweb paulthielen

mercredi 10 mars 2010

Habitat communautaire au début de Louvain-la-Neuve

Comme j'ai eu l'occasion de le dire ce jour à un stand de la Foire des kots-à-projet, il y avait dès le début de Louvain-la-Neuve des logements étudiants avec projets socioculturels. Six maisons faisaient partie de la première phase : le CI (Cercle Industriel (même emplacement depuis 1972), Maphys (dissidence de la Maison des Sciences et regroupant des étudiants de Mathématiques et Physique), le CIEE (Cercle International des Etudiants Etrangers, le CRU (Centre Religieux Universitaire) à l'emplacement de la Lux actuelle, le CSE (Cenre Sportif Etudiant) à l'endroit du kot Erasmus place des Paniers et le Centre Galilée (maison intergénérationnelle consacrée aux sciences et techniques dans la société et dont le bâtiment ne fut achevé qu'en 1974 à l'emplacement actuel d'Univers-Santé).
La plupart des étudiants vivaient dans des appartements communautaires dans le quartier qu'on appelait alors la chaussette (entre la Place Galilée, le CI et les kots de la Place de l'Escholier). Certains des kots avaient un projet (comme la "Lemniscate") d'autres non.
Qui peut me retrouver des noms d'appartements de ces années-là ?
Le nom de kots-à-projet n'a été vraiment employé que vers 1975.

La base scoute de Louvain dans les années 50

Dans les années 50 il y avait à Louvain (Leuven) une maison communautaire établie rue Jean Stas. Parallèlement existaient aussi une maison guides et deux kots Patro (un pour les garçons et un pour les filles).

Picasa Albums Web - Paul - 100310FoireKAPs

Picasa Albums Web - Paul - 100310FoireKAPs
A Louvain-la-Neuve ce 10 mars 2010, la Foire des Kots-à-projet. J'ai été agréablement de constater qu'il y avait des kots Kapharnaüm et Oasis comme dans les années 60 à Leuven.
On appelait alors "maisons communautaires" les ancêtres des kots-à-projet.
Je recherche toujours photos, documents et témoignages sur l'habitat étudiant à Leuven - Louvain de 1950 à 1975 (y compris le début de Louvain-la-Neuve).

mardi 9 mars 2010

La foire des Kots-à-projet. Mercredi 10 mars 2010

Il se passe toujours quelque chose chaque mercredi de printemps sur la Grand'Place de Louvain-la-Neuve.
Cette semaine c'est la foire des Kap's. Chacun de ces logements a l'occasion de présenter son projet aux autres étudiants, aux élèves de classes terminales du secondaire mais aussi aux habitants de Louvain-la-Neuve et des environs. Des activités ludiques et pédagogiques.
Les kots présentent leur projet original mais se situent aussi dans l'ensemble du mouvement. A Louvain-la-Neuve, et ailleurs, les kots-à-projet tissent une toile de collaborations.
Cela se passe sur les deux places importantes de la dalle du Centre Ville : la Place de l'Université et la Grand'Place, de 10 à 18 heures. Des kots-à-projet de Namur seront présents. Ce mouvement existait déjà à Namur dans les années 70. Je cherche d'ailleurs les noms de kots de ces années-là : le Tarabiskot, ...
Les activités traditionnelles de beach-volley, escalade... seront accessibles. Sur la "grand'plage" ce ne sera pas la chaleur de juillet mais le printemps a promis d'être là incognito.

jeudi 18 février 2010

Louvain-la-Neuve. Animations urbaines. Les mercredis

10.3.2010 10h à 18h Foire des kots à projet

17.3.2010 10 miles. Place Univ
17.3.2010 12h 30 Le Doudou. Grand'Place
24.3.2010 13h 00 Jongl'rue
31.3.2010 12h 00 Foire médiévale Grand'Place
31.3.2010 14h 00 Reconstitution bataille Waterloo
21.4.2010 14h 00 Spring LLN
28.4.2010 Journée Monde Rural
02.5.2010 Carnaval brésilien

jeudi 11 février 2010

Homélie de la Fête Patronale de l'UCL. Professeur André Wenin.

http://paroissesaintfrancois.be/homelies/210-fete-de-luniversite-2-fevrier

Merci à la paroisse d'avoir mis sur le web ce texte théologiquement puissant. Un peu un programme d'Église.
Homélie de la célébration eucharistique (Prof. André Wénin)
Qu’y a-t-il donc à célébrer lorsque l’époque est à la crise ? Est-il seulement possible de le faire ? Et que célébrer en cette fête de l’Université, alors que, pour elle – pour nous – les temps sont incertains, confrontés que nous sommes aux défis sans cesse nouveaux d’un monde complexe en perpétuel changement et d’une société qui, sans boussole, peine à trouver ses marques, et cherche en vain des valeurs qui pourraient rassembler les citoyens et mobiliser les énergies ?
Lorsque le présent est problématique et qu’il impose des choix critiques, un regard sur le passé n’est sans doute pas inutile. Non pour regretter le bon vieux temps, mais pour chercher de l’inspiration dans ce qui fut à la source.
Comme d’autres institutions du même genre dans le nord de l’Italie, l’Université que nous fêtons aujourd’hui est née à la jonction du Moyen âge et de la Renaissance dans un contexte de crise profonde. Plus précis, des historiens diront même qu’elle est née en réponse au marasme économique qui avait frappé de plein fouet le centre drapier du Brabant et vouait au déclin cette ville autrefois prospère. Fonder une université, c’était une façon de ne pas se résigner, d’anticiper un avenir irrémédiablement compromis, en développant la science et la recherche de la sagesse et en pariant sur la jeunesse et son dynamisme avec la conviction que c’est avec elle que l’avenir a ses chances. En accédant à la volonté du duc de Brabant, du chapitre collégial de Saint-Pierre et des édiles de la Ville de Louvain de créer une université dans cette ville en pleine crise, et en lui confiant la mission de former les jeunes au service de tous au moyen de la science et de la sagesse, le Pape Martin V a accompagné ce mouvement en le soutenant de son autorité.

Ce faisant, le pape n’était pas seulement en phase avec son époque, mais aussi avec le dynamisme authentique de la foi chrétienne. Que proclame en effet le cœur du credo de l’Église, si ce n’est la résurrection de Jésus ? Au creux de la mort, de la crise radicale où la vie même vient s’abîmer, au creux de l’impasse apparemment indépassable, de l’échec que l’on croirait sans retour, Dieu prépare un avenir inespéré pour celui que la perspective de la mort certaine n’a pas paralysé et qui, confiant, ne s’est pas dérobé à son avenir pourtant plus qu’incertain.
Mais la résurrection, ce n’est pas seulement celle de Jésus. C’est encore celle des disciples que la mort de leur Seigneur avait anéantis – comme les deux d’Emmaüs. Mais touchés par des signes aussi discrets qu’inattendus — une tombe vide, la parole de quelques femmes d’abord prise pour un délire, une insaisissable mais bouleversante rencontre —, ils ont trouvé la force et l’audace suffisantes pour surmonter leur propre abattement. Ils ont oublié à jamais leurs barques et leurs filets et se sont lancés à corps perdu dans l’annonce d’une bonne nouvelle : comme au premier jour du monde, lorsqu’a resplendi la première lumière, le tohu-bohu, les ténèbres, la tempête et même la mort sont un lieu où Dieu se tient, espérant quelqu’un qui recueille sa parole, accepte son appel à la vie, son invitation à l’audace.
En réalité, ce qui est ainsi au cœur du credo vient couronner une lame de fond qui parcourt les Écritures. Narrateurs bibliques, prophètes et apôtres : tous, d’une façon ou d’une autre, invitent à croire qu’une crise affrontée dans le refus de la nostalgie, dans la confiance en l’avenir et en l’Origine d’où cet avenir ne cesse de sourdre dans le présent – qu’ainsi vécue, cette crise est le lieu d’une créativité et d’un renouvellement que n’auraient pas osé imaginer ceux-là mêmes qui en ont eu l’audace.

(1re lecture : Exode 17,1-61)
Moïse est en plein désert, avec tout le peuple qu’il a tiré de la servitude et à qui il a rendu la vie et l’espoir. Ils ont tourné le dos au passé, ils ont osé l’aventure, et connaissent une liberté qui, il n’y a pas si longtemps, était encore pour eux inimaginable.
Soudain, c’est la crise : le manque d’eau pousse ces gens à s’en prendre à leur guide. Ils l’accusent de leur avoir fait courir tous les risques en les tirant d’Égypte pour les mener dans une impasse bien plus grave : la mort de soif. Ainsi pris à partie, craignant d’être lapidé, Moïse interpelle le Maître de l’impossible qui a ouvert les eaux de la mer pour frayer à son peuple un chemin de vie au cœur de la mort. Et Adonaï répond par un ordre improbable : avec son bâton, frapper la roche, devant témoins, faire jaillir l’eau en plein désert, tirer la vie de ce qui est le plus sec, le plus mort. Comme il avait tendu le même bâton sur la mer – et elle s’était ouverte –, Moïse frappe, avec cette confiance qui fait que l’on ose risquer l’impossible. Dans ce petit récit, Adonaï lui-même montre la voie : l’impasse n’arrête pas celui qu’habite la confiance créatrice.

(2e lecture : Actes des Apôtres 15,1-11)
Très vite, les premières communautés chrétiennes que Saint Luc, dans les Actes des apôtres, présente pourtant comme particulièrement évangéliques, connaissent des conflits, vivent des crises. La plus grave d’entre elles va contribuer à forger l’identité chrétienne.
Le mouvement de Jésus, on le sait, est né au sein du judaïsme, mais rapidement des païens sont devenus disciples. Doivent-ils adopter le judaïsme, changer d’identité se faisant circoncire comme les juifs ? Une solution doit être trouvée : l’avenir de l’Évangile est en jeu. À Jérusalem, la communauté mère, on réunit apôtres et anciens. Paul est en train de les préparer à faire preuve d’audace, en leur racontant comment les païens ont fait bon accueil à la Bonne nouvelle. C’est alors que de plus orthodoxes interviennent pour demander que l’on impose à tous les nouveaux venus l’obligation de pratiquer la Loi de Moïse. Alors que les esprits s’échauffent, que le ton monte, une voix s’élève avec autorité : celle de Pierre. Il a vu, lui, des non-juifs vivre leur Pentecôte. Sans pratiquer la Loi, ils sont entrés dans le chemin ouvert par Jésus, et leur vie en a été transformée. Ne faut-il pas tirer la leçon de cette expérience, et promouvoir la liberté de la foi, en évitant d’en faire un joug qui entrave et soumet l’être à une loi autre que celle de l’amour ? Cette perspective, sans doute effrayante pour les juifs devenus chrétiens, Pierre l’a ouverte. Les autres l’ont suivi avec une audace confiante, sans penser que s’accrocher au passé sauverait l’avenir.

(Évangile : Jean 2,1-11)
Lorsque Jean, au début de son évangile, raconte le premier des signes de Jésus, leur prototype, si l’on peut dire, il propose à son lecteur une sorte de parabole programmatique. Il en ponctue la finale par ces mots : « il manifesta sa gloire ». Aux yeux de Jean, en effet, ce signe manifeste en quoi Jésus pèse sur l’histoire, quelle est sa véritable importance, en quoi il faut compter avec lui.
Et quel est ce signe ? C’est la réponse à une crise – domestique, apparemment anecdotique : une noce où le vin manque. Mais pour qui entre un peu dans la riche symbolique du récit, la crise est autrement profonde et dramatique : c’est celle d’une religion qui, au départ, a commencé par des noces, — l’alliance entre Dieu et son peuple —, mais en est venue à devoir se contenter de l’eau des purifications, dont parle le récit. Une religion qui s’est réduite à ne proposer au fidèle que des efforts pour s’approcher de Dieu et être digne de lui, efforts sans cesse à reprendre parce que sans cesse compromis. Bref, une noce que la fête a désertée, une noce sans joie, sans ivresse.
Dans cette crise, dans cette impasse, qui est Jésus, selon Jean ? Il est celui qui provoque, qui pousse à l’audace : celle de la mère qui, malgré un refus apparent, va quand même de l’avant comme si elle savait que le désir de son fils ne peut s’accommoder de la situation ; celle des serviteurs qui, sur l’ordre de Jésus, portent de l’eau au maître du festin, au risque de paraître ridicules ou de provoquer sa colère… Jésus est ainsi celui dont la parole amorce une issue, mais discrètement, l’air de rien. Et c’est l’agir conjugué de la mère et des serviteurs sur la parole de Jésus qui, en traversant l’impasse, rend à la noce son air de fête, aux convives l’ivresse d’un grand cru, et à la foi son parfum de folie.

Qu’y a-t-il donc à fêter en un temps de crise ? Que célébrer en cette fête de l’Université ? Sans doute le dynamisme et l'enthousiasme de la jeunesse, cet âge où les crises obligent à oser, à s’inventer, à créer cet âge qui sait la vie la plus forte. Peut-être aussi l’enracinement de notre projet universitaire dans ce à quoi l’évangile ne cesse d’appeler : l’espérance, cette petite vertu tenace qui sait que si le grain ne meurt, il ne peut porter du fruit, et que toutes les fleurs de l’avenir sont dans les semences d’aujourd’hui.

lundi 8 février 2010

Un patient dans un état végétatif “communique” par la pensée - En quête de sciences - Blog LeMonde.fr

Un patient dans un état végétatif “communique” par la pensée - En quête de sciences - Blog LeMonde.fr

Un patient qui survivait depuis cinq ans dans un état végétatif a pu “communiquer” avec ses médecins par le biais de l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle, l’IRMf. En fait de communication, ce patient a pu indirectement répondre, par oui ou par non, à des questions simples posées par les chercheurs.

Ces résultats, publiés dans le New England journal of medicine, donne un coup de canif supplémentaire dans la supposée uniformité des états végétatifs. Jusqu’alors, les patients étaient considérés dans un état végétatif s’ils ne pouvaient répondre à aucun stimulus, ce qui était le cas de ce patient. D’autres sont dans un état de “conscience minimale” s’ils réagissent de manière mécanique à certaines sollicitations. Ces recherches devraient amener les autorités médicales à revoir la manière dont sont établis ces diagnostics.

Les chercheurs britanniques et belges à l’origine de cette étude se sont penchés sur le cas de 54 patients plongés dans un état végétatif ou dans un état de conscience minimale après un accident ou une maladie.

A l’évocation de deux activités distinctes – déambuler dans les pièces d’une maison ou jouer au tennis –, cinq des patients ont pu activer les régions du cerveau concernées. Cette interaction ne suffit pourtant pas à déterminer un état de conscience, ces réactions pouvant être de simples réflexes.

Les chercheurs ont donc tenté d’obtenir des réponses à des questions simples et fermées. Comme l’explique très bien le site Nature News, “il est difficile, voire impossible, de déterminer quelles régions du cerveau sont activées quand une personne pense ‘oui’ ou ‘non’”. Aussi, les chercheurs ont demandé au patient de penser au tennis pour dire “oui” et à la maison pour dire “non”. Les zones du cerveau activées lors de ces deux activités sont distinctes et aisément identifiables grâce à l’IRM fonctionnelle.

L’un d’entre eux, un Belge dans le coma depuis cinq ans après un accident de la circulation, a réussi, grâce à cette technique, à répondre correctement. A la question “Est ce que votre père s’appelle Alexander ?”, le patient a répondu ‘”oui” en activant la zone du cerveau concernée. A la question ‘Est ce que votre père s’appelle Thomas ?’, le patient a répondu “non”. Ces deux réponses étant les bonnes. En tout, le patient a bien répondu à cinq des six questions qui lui ont été posées. Précisons que les scientifiques qui avaient la tâche d’étudier les IRM ne connaissaient pas les réponses aux questions pour éliminer les biais inhérents à l’analyse.

La communication que permettent ces recherches restera limitée. Mais déjà, les chercheurs imaginent la portée de leurs résultats :

“Dans le futur, cette approche pourrait être utilisée pour répondre à d’importantes questions techniques. Par exemple, les patients pourraient être interrogés sur leur douleur. (…) Développée, cette technique pourrait être employée pour que les patients expriment leur ressenti, contrôlent leur environnement ou améliorent leurs conditions de vie.”

Mais au-delà, cette capacité de communiquer avec des patients dans un état végétatif risque de poser des questions éthiques assez difficiles à trancher. Pourrait-on par exemple demander à un patient s’il voudrait être débranché ? Interviewé par l’Agence France Presse, le professeur Steven Laureys, qui a mené ces recherches :

“Nous devons maintenant nous asseoir autour d’une table avec la communauté médicale, toutes disciplines confondues, et des experts en droit, et décider des implications éthiques de cette recherche.”

Photo : New England journal of medecine

François Houtart : L'enchevêtrement des crises

Vendredi 26 février 2010 à 20H,
à la Maison du développement durable,
Place Agora, Louvain La Neuve*

L'enchevêtrement des crises - l'impact sur le Sud, options de solutions*

Par le Chanoine François Houtart

La Maison, du développement durable vous convie à la conférence-débat
que prononcera Francois Houtart, professeur émérite de l'UCL, fondateur du CETRI (Centre Tricontinental), honoré par l'UNESCO pour la promotion de la tolérance et de la non-violence.
Ardent défenseur de la coopération Nord-Sud, il a consacré sa vie à défendre les droits de l'homme.
Il présentera les multiples aspects de la crise et des options de solutions.
La crise n'est pas seulement financière et économique.
La crise est aussi alimentaire, énergétique, climatique et finalement sociale et humanitaire.
Il ne suffit donc pas de proposer des régulations du système, mais bien de nouveaux paramètres pour l'organisation de la vie de l'humanité sur la planète.

http://www.campuspleinsud.org/

Pour information : la Maison du développement durable
Place Agora 2, 1348 Louvain-la-Neuve -  010 / 47.39.59 (après-midi)
Web :
www.maisondd.be – email : ginkgo.biloba@maisondd.be

mercredi 27 janvier 2010

Images 29 aout 2009

http://www.creatifsculturels.be/videos_site.htm
Quelques photos et vidéos prises par hasard en passant sur la place de Sciences.

jeudi 21 janvier 2010

mardi 5 janvier 2010

Louvain-la-Blanche


Quelques centaines de photos de neige dans le quartier Biéreau (les Hauts-de-Biéreau), Bruyères (les Hauts-de-Bruyères), et autour du lac.

http://picasaweb.google.be/paulthielen/100103LouvainLaBlanche#